24/10/2014
"La Reine Amazigh." (1)
De sublime pente
En sublime porte
Je glisse en Toi
Reine des "Hommes Bleus"
Tu déposes un voile impudique
Sur mon regard-voyageur
Cette merveilleuse parure de sable
Orientée plein Sud
Légèreté de braises revêtue
A chacun de tes souffles
Je m’élève au Ciel
A chacun de tes souffles
Je décolle pour le Croissant de Lune
J’habite le Printemps de ton Corps
Cœur gémissant de plaisir
Asile sauvage et délicat
Où mon Amour trouve toujours refuge
Le vent tournoie
Et je me sens l’âme ravie
Je crois aux voix étouffées venues du Désert
Celles qui m’ont amené à Toi
Comme à un mirage
Là, où les Génies s’expriment
Se mêlent l’Harmonie et le Henné
Les oueds en furie grondent
Prennent leur revanche sur la sécheresse
Qui n’en finit pas
Les trois cordes en soie vibrantes de ta kamanja
Répondent aux percus de ma guedra
C’est comme un air de fête
Joué à l’improviste
La Prière d’une Puissance Mystique
L’Esprit de l’Univers connecté en illimité
Offrant sa Lumière à l’Humanité
Qui enveloppe d’affection sa Terre natale
Comme la Femme de ses Rêves
Glorifie et honore l’Amour
Toi, dont j’entends les battements d’ailes
Je t’évoque mon Ange, mon Aigle
Femme aux prunelles resplendissantes
Aux yeux noirs hypnotiques
Ce bonheur crépusculaire
Seuls les Dieux peuvent nous l’inspirer
Ils nous font croire en notre Génie
Ma Belle Oasis
Préparons donc demain dès aujourd’hui
Soyons les Rêveurs du Sacré
Tradition féconde
Tout ce qui couve la Création
Le Ciel l’a déjà béni
Il nous faut le préserver
Réunis autour d’un bon feu de bois
Et d’un verre de thé à la menthe
A l’heure furtive
Hâtons-nous de nous aimer
Et clonons l’extase à l’infini
Comme un replay affectif
Le Haut Atlas
Au coucher du Soleil
Innocent de nos ébats
Pose un regard détaché sur le Désert lointain
Sur ce tableau changeant s’élevant sur l’azur
Et où passe la dernière caravane
© Jean DORVAL, le 22 octobre 2014, pour LTC Poésie
Extrait du "Carnet de voyage Marocain."
Note : (1) Berbère. En hommage à l’expo "Femmes berbères du Maroc" qui a eu lieu du 21 mars au 20 juillet 2014 à la Fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent. INFO+ : fondation-pb-ysl.net/Femmes-berberes-du-Maroc
00:33 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "la reine amazigh.", "la fille de l’ambre.", "la pause nue.", "papillon de nuit.", irène bedard, undercurrent, à ma muse amérindienne, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
21/10/2014
LTC POéSIE : "A MON PETIT BOIS" by JEAN-FRANçOIS DUCIS.
"A mon petit bois."
Bois pur, où rien ne m'importune,
Où des cours et de la fortune
J'ignore et la pompe et les fers,
Où je me plais, où je m'égare,
Où d'abord ma muse s'empare
De la liberté des déserts ;
Où je vis avec l'innocence,
Le sommeil et la douce aisance,
Et l'oubli de cet univers,
Loin de moi jetant dans les airs
Tous les orgueils de l'importance,
Tous les songes de l'espérance
Et l'ennui de tous les travers ;
Où pour moi, ma seule opulence,
Ce que je sens, ce que je pense,
Devient du plaisir et des vers.
Ô le plus charmant bois de France !
Que de douceurs dans tes concerts !
Quel entretien dans ton silence !
Quel secret dans ta confidence !
Que de fraîcheur sous tes couverts !"
by Jean-François Ducis (1733-1816).
© Crédit photos : Le Républicain Lorrain 2014.
19:44 Publié dans LTC LIVE : "LA VOIX DU GRAOULLY !" | Lien permanent | Tags : "a mon petit bois", jean-françois ducis, le répubicain lorrain, "la fille de l’ambre.", "la pause nue.", "papillon de nuit.", irène bedard, undercurrent, à ma muse amérindienne, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-met | Facebook |
14/10/2014
"LA FILLE DE L’AMBRE." (1)
© Photo ci-dessus : blog.aufeminin.com
Maroc : belle femme berbère.
L’eau passe dans ta longue chevelure,
Habille ton visage de mes larmes de joie,
Ta peau de mes mots de couche
Poésie jaillie de ma bouche,
En vers et en pétales,
Espoir lié, thé à la menthe,
Partage à Deux
Le ciel d’ivoire,
Et les étoiles d’argent,
Passent dans ma tête,
Me voici allongé au pied des amandiers,
Où je t’embrasse
Dans mes bras,
Sans secrets,
Terre d’insistance,
Je t’initie au Chant des Signes
Ma Terre brune,
Ton visage est ma Patrie,
La douceur du soleil de Marrakech,
Me délivre sous ta caresse exquise,
Mémoire affective !
© Photo ci-dessus : touria.damoussi.over-blog.com
Lehnert et Landrock- La Conversation. Etude de nu, 1910.Tirage argentique d’époque.
A chaque instant,
Je te veux prête à tout,
Comme une lampe à huile,
Exhale l’ambre dans une chambre,
Jusqu’à complet épuisement
Je te rejoins sur la natte,
Ton regard en naufrage volontaire,
Me délivre jusqu’au prochain jour
Des bords de l’oued,
La fantasia exotique de nos deux corps,
Entame une danse du ventre endiablée,
Parfumée de safran
© Photo ci-dessus : wiki/Femme_Marocaine
Maroc : femme avec un tambour.
L’archet de la kamanja,
Le bendir, la nira,
La taârija, la darbouka,
Et les joyeux youyous,
En nous rendant hommage,
Réveillent par leur récital effréné,
Le Haut Atlas tout entier,
Les bergers nous offrent en retour,
Une ronde nuptiale
Fondus et confondus,
Ombres et lumières,
Chevilles bercées,
Folles cambrures apprivoisées,
Embuscades sentimentales pavoisées,
Les ruelles de nos veines,
Où circule l’émotion,
Arbitrent notre folle partie d’escrime sensuelle,
Dont la cadence nous élève en tourbillon
Regard sentimental,
Regard sentinelle,
L’Afrique éveille en nous,
L’ultimatum à l’ultime vertu
Notre fièvre,
Imprévisible et subite,
Nous rend missionnaires,
Jusqu’à la position
© Photo ci-dessus : touria.damoussi.over-blog.com
Lehnert et Landrock- Méditation-Profil d’une intrigante,1910.Tirage albuminé d’époque. 1910
Réchauffement climat-X localisé,
Ne pouvant assécher nos sentiments,
Nos mains ouvrent des routes,
Et des déroutes volontaires
Toujours,
Je retourne vers Toi,
Je retourne à Toi,
Comme une tempête de sable qu’on ne peut arrêter,
Afin de clairsemer l’Été dans tes yeux,
Ce bel été du Vin des Amants abondamment versé,
Où je m’égare dans ta troisième dimension,
Pour mieux déposer un baiser sur tes lèvres
© Jean DORVAL, le 05.10.2014, pour LTC Poésie,
Extrait du "Carnet de voyage Marocain."
Note : (1) D’après l’œuvre du poète Tahar Ben Jelloun "Le Discours du Chameau", suivi de "Jénine", et autres poèmes, parus chez NRF, Poésie/Gallimard.
17:29 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "la fille de l’ambre.", "la pause nue.", "papillon de nuit.", irène bedard, undercurrent, à ma muse amérindienne, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
"LA PAUSE NUE."
Depuis l’antique kasbah,
De l’Oasis de Tioute (1),
Surplombant les 7 douars,
Tu es là ma palmeraie,
Florissante et féconde,
Tu es le sel de la terre,
Le Ciel de la Terre
Les bras en position d’appel,
Tu prends la pause,
Reposes sur une feuille de thé,
Légère comme une rose des sables
Jean-Frédéric Coviaux- Peintures
"La Marocaine" fusain et grattage, sur papier 38x28 cm.
Nue comme un ver à soie,
Tissant son fil d’Ariane,
Entre tes deux seins épanouis,
Tu me guides,
Là, où bat la Vie
Tu couves mon Amour pour Toi,
Comme on puise quotidiennement l’eau du puits en plein désert,
Je me blottis contre ton cœur,
Et fais une pose au creux de tes mains
En m’offrant ton Origine du Monde,
Tu fais de moi l’Élu cajolé,
Le plus heureux des hommes
Tu restes le refuge de mon voyage nocturne,
Quand la nuit s’étire,
Alors, je redeviens l’enfant des sables émouvants
© Jean DORVAL, le 10 octobre 2014, pour LTC Poésie,
Extrait du "Carnet de voyage Marocain."
Note : (1) "Tioute" en Berbère signifie "la bosse du dromadaire".
© Crédit photos : Jean DORVAL 2010.
01:30 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "la pause nue.", "papillon de nuit.", irène bedard, undercurrent, à ma muse amérindienne, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
"PAPILLON DE NUIT."
© Photo ci-dessus : passion-tatoo.skyrock.com
Marocaine blonde éprise,
Insoumise comprise,
Terre promise,
Désormais compromise
Tu glisses le long de mes rives,
En m’embrassant en dérive,
Comme un oued qui se ravive
Tu enrichis le fils du pauvre,
Donnant au mendiant de l’Amour,
Du bout de tes lèvres rouge grenat
Ta grâce qu’à genoux je cueille,
Multiplie mes joies
Papillon de nuit tendant à s’évanouir,
Que rien n’empêche de s’épanouir,
Je t’aime à la limite de la Foi,
Rien en Toi ne me trahit,
Contrée de lait et de miel,
Dont je m’entiche volontiers, ébloui !
© Jean DORVAL, le 10 octobre 2014, pour LTC Poésie,
Extrait du "Carnet de voyage Marocain".
00:16 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "papillon de nuit.", irène bedard, undercurrent, à ma muse amérindienne, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
01/10/2014
"UNDERCURRENT." (1)
Pocahontas, très belle amérindienne, héroïne du film "Le Nouveau Monde."
Plume tatouée envolée
Au commencement était ton regard
Courant d’air chaud
Au premier instant était ton sourire
Muse de miel et de lait,
Plaine charnelle éternelle,
Exauce-moi
Vent tournoyant
Au commencement était ton regard
Eau brillante et sauvage
Au premier instant était ton sourire
Muse en transe,
Impulsion créatrice,
Conte-moi l’Aventure de l’Inventif (2)
Eclat des prairies
Au commencement était ton regard
Mesure du temps
Au premier instant était ton sourire
Carries the War Staff (Amène la Troupe à la Guerre), femme Apache.
Muse qui m’habite,
Donne-moi le rythme,
Exauce-moi
Etoile en approche
Au commencement était ton regard
Nef sensorielle
Au premier instant était ton sourire
Muse en mode Vertigo,
Dissipe la fièvre de mes doutes,
Conte-moi l’Aventure de l’Inventif
Pluie en partage
Au commencement était ton regard
Onde chantante
Au premier instant était ton sourire
Muse étendue entre ciel et terre,
Délicieuse Amante Amérindienne,
Exauce-moi
L'actrice Irene Bedard a joué souvent des rôles Amérindiennes,
Echo de lune sur le lac
Au commencement était ton regard
Creuset ensemencé
Au premier instant était ton sourire
Muse qui seule m’apaise,
Enchanteuse au calumet de la Paix,
Conte-moi l’Aventure de l’Inventif
Vol d’oies sauvages
Au commencement était ton regard
Faim de louve
Au premier instant était ton sourire
Muse du soir, puis du matin,
Dans l'étendue du ciel,
Exauce-moi
Corbeille de beaux fruits
Au commencement était ton regard
Long chemin de clarté
Au premier instant était ton sourire
Muse, âme de velours,
Ma tête sur tes genoux,
Conte-moi l’Aventure de l’Inventif
Belle détendue fertile
Au commencement était ton regard
Descendante du Feu
Au premier instant était ton sourire
Muse, à la ronde féconde,
Femme nocturne Native,
Exauce-moi
Muse, Fille de Tsen-Tainte,
Caresse guérissant de tout,
Conte-moi, longtemps encore, l’Aventure de l’Inventif,
Libère les rivières de mes mots,
Accueille leurs étreintes,
Offre une larme de joie à tout ce que tu touches au plus profond de moi
Au commencement était ton regard
Au premier instant était ton sourire
© Jean DORVAL, le 26.12.2013, pour LTC Poésie.
Source documentaire : D’après le « Chant des délices de Tsai-Talee », de N. Scott Momada de la tribu amérindienne Kiowa, et l’œuvre de Diane Burns poétesse amérindienne contemporaine de la tribu des Chemehuev.
INFO+ : http://ipapy.blogspot.fr/le-monde-sacre-des-femmes-amerindiennes
Notes :
(1) Traduction : "Courant sous-jacent."
(2) Inspiré du début de "L’Odyssée" d’Homère : "Ô Muse, conte-moi l’aventure de l’Inventif…"
19:18 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : irène bedard, undercurrent, à ma muse amérindienne, « le chant de sanaa. », poésie, inspiré de la poésie humaynî du yémen, mais en vers libres, tihāma, yémen, femme yéménite, évidence, la rose mauve, une hirondelle fait mon printemps, melin de saint-gelais, poésie renaissance, renaissance, joachim du bellay, danse avec moi cette nuit, ltc, la tour camoufle, jean dorval, jean dorval pour ltc, coupe du monde de football, amour, romantisme, centre pompidou-metz | Facebook |
12/08/2014
"Ô CAPITAINE ! MON CAPITAINE !"
"Hommage à l'Immortel Robin Williams, un acteur complet, à visage humain, qui a su provoquer, tout au long de sa carrière, chez son public, fous rires et émotions." JD.
Ô Capitaine ! mon Capitaine ! fini notre effrayant voyage,
Le bateau a tous écueils franchis, le prix que nous quêtions est gagné,
Proche est le port, j’entends les cloches, tout le monde qui exulte,
En suivant des yeux la ferme carène, l’audacieux et farouche navire ;
Mais ô cœur ! cœur ! cœur !
Oh ! les gouttes rouges qui lentement tombent
Sur le pont où gît mon Capitaine,
Étendu mort et glacé.
Ô Capitaine ! mon Capitaine ! lève-toi et entends les cloches ;
Lève-toi - c’est pour toi le drapeau hissé - pour toi le clairon vibrant,
Pour toi bouquets et couronnes enrubannés - pour toi les rives noires de monde,
Toi qu’appelle leur masse mouvante aux faces ardentes tournées vers toi ;
Tiens, Capitaine ! père chéri !
Je passe mon bras sous ta tête !
C’est quelque rêve que sur le pont,
Tu es étendu mort et glacé.
Mon Capitaine ne répond pas, pâles et immobiles sont ses lèvres,
Mon père ne sent pas mon bras, il n’a ni pulsation ni vouloir,
Le bateau sain et sauf est à l’ancre, sa traversée conclue et finie,
De l’effrayant voyage le bateau rentre vainqueur, but gagné ;
Ô rives, Exultez, et sonnez, ô cloches !
Mais moi d’un pas accablé,
Je foule le pont où gît mon Capitaine,
Étendu mort et glacé.
Walt Whitman, extrait de "Feuilles d’herbe", traduction par Léon Bazalgette, Mercure de France, 1922 (I et II, pp. 80-81).
INFO+ :
wiki/Robin_Williams
23:37 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "Ô capitaine ! mon capitaine !", hommage à robin williams, "time is love.", "garden girl.", exposition, centre pompidou-metz, 1984-1999, la décennie, metz, moselle, lorraine, tes formes simples, jean vodaine n’est pas vraiment mort !", et maintenant, aux fesses !", première exposition mondiale, des éditions érotiques illustrées, de verlaine, du 25 avril au 15 juin 2014, réservé aux adultes, le jour où je t’ai rencontrée.", la tour eiffel, "tu es pure réalité.", "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, inauguration, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
08/08/2014
"TIME IS LOVE."
"La femme parfaite." © Image ci-dessus : sciencepresse.qc.ca
"A. Ma Muse,
Voyageuse sens-usuelle."
En ta présence, le temps n’a plus d’importance
En ta présence, je ne regarde plus ma montre
Je la jette par la fenêtre pour mettre fin au temps
Et ne plus jamais te quitter
En ta présence le temps s’arrête 24H/24
Notre histoire pourrait avoir 70 ans
Cette Rock’n’Clock Story
Que mon horloge érotique
Celle qui chatouille ton tempo
Me lancerait tout de même dans ton abîme vertigineux
Dans une course effrénée
Dans un spasme frénétique
Nous sommes le chahut universel
La vision d’une saccade organisée
Notre liaison en notes charnelles
Assemble le puzzle d’une symphonie corporelle
Sonnerie téléphonique amoureuse réveillant le désir
Nous sommes fous l’un de l’autre, l’un pour l’autre
Le tic-tac de ton horloge biologique
Me pousse à te féconder ma belle Matrice
Je passe ma langue pas étrangère dans ton intimité
Là, je lis directement tes plus belles pensées
Là, je suis relié à ton moi intérieur
Tu ne peux retenir tes cris de joie, tes rires
Tes pleurs de déraison, ton chant en partage
Nous sommes les Conquérants de la Tendresse
Les Chevaliers de l’Amour en redécouverte
Les captifs de nos propres rythmes
De nos pulsations cardiaques
Qui se confondent en fil-harmonie
Nous demeurons dans une éclipse de temps
Pour toute notre existence
Nous remontons l’Hypnotique-Optique
Qui nous met dans tous nos états
Ton corps-beau attise mes sens
Jour après jour
Nuit après nuit
D’heure en heure
© Image ci-dessus : leaghirardotti.blogspot.fr
Ma Gourmande
J’emprunte ton bon-heure à Vie
Nous partageons un baiser endiablé
Je te caresse du regard et des mains
L’infiniment bleu de tes yeux répond à tes roux cheveux
Tu es une rime sonore quand tu t’emballes
L’Amour est en toi, tu as dompté l’œillade
Enflammé nos pensées et nos actes
Jusqu’à l’Hommage à la Petite Mort
Des hauteurs de Queuleu
Des chemins de Vignerons
Avec Pompidou en point de mire
Que vienne et vive le temps en partage
Que sonne l’heure des retrouvailles des Amants en campagne
Que sonne l’heure des vendanges hardies
Les jours s’en vont
Et ne se ressemblent pas
Nous demeurons conjointement invaincus
L’un à l’autre,
L’un pour l’autre
© Jean DORVAL, le 07 août 2014, pour LTC Poésie.
NEWS+ :
© Crédit photos : recherches documentaires by Jean DORVAL pour LTC Arts et LTC Poésie 2014 (les auteurs sont cités, utilisation des clichés aux fins d'illustration) ; droits pour les photos d’œuvres d’art : les Centres Pompidou-Metz et Paris - ADAGP Paris 2014 ; reproduction partielle de quelques parties du bâtiment du Centre Pompidou-Metz faite avec l’aimable autorisation de Shigeru Ban Architects et Jean de Gastines Architectes.
12:18 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "time is love.", "garden girl.", exposition, centre pompidou-metz, 1984-1999, la décennie, metz, moselle, lorraine, tes formes simples, jean vodaine n’est pas vraiment mort !", et maintenant, aux fesses !", première exposition mondiale, des éditions érotiques illustrées, de verlaine, du 25 avril au 15 juin 2014, réservé aux adultes, le jour où je t’ai rencontrée.", la tour eiffel, "tu es pure réalité.", "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, inauguration, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
02/08/2014
"GARDEN GIRL."
Les années 90, une période de transformation racontée à travers plus de 200 œuvres…
© Marc Antoine Dumont.
"A. Ma Muse."
Je mets en route notre bande-son,
Celle de notre Vie à Deux,
Je rembobine la vidéo à la Source,
Celle de notre Vie pour Deux
Dominique Gonzalez-Foerster, "Moment Ginza", 1999, tube néon haute tension, transformateur 20 x 120 x 20 cm ,
Courtesy Dominique Gonzalez-Foerster & Esther Schipper, Berlin © ADAGP, Paris 2014.
C’est le "Moment Ginza",
Et je vois la Vie en rose,
Car tu es l’Ange au féminin à ma table,
Celle avec qui je partage le festin,
Le festin du destin !
On Kawara, 5 Nov. 1990, Acrylique sur toile et coupures de journaux,
25,5 x 33 x 4 cm, Collection le Consortium, Dijon ,
localisation : Musée d'Art Moderne et Contemporain de Strasbourg ; © Photo musées de Strasbourg, Mathieu Bertola.
03, 04 et 05 novembre 1990,
J’ai une unique manière de te voir,
Celle qui t’illumine,
Celle qui illumine ma Vie
Viens, je t'emmène de nuit,
Je t'enlève d'ici-bas,
Le temps ne compte plus,
Il apporte toutes ses promesses,
Seulement ses promesses,
Et cela nous suffit
Quelque soit l’endroit où tu es,
Le vent me conduit à toi,
Le vent me conduit vers toi,
Le vent me conduit en toi
Les Lights du CPM.
Sous les lights,
Rappelle-toi notre décennie,
Celle des 90’s
Prenons seulement conscience de notre Histoire,
Notre devoir de mémoire affectif,
Commence depuis le début,
Il s’entretient tous les jours
Notre Love-Attention défile devant nos yeux,
Dans cette Black City Parade, je te photographie,
Et dans les avenues de cette ville incandescente,
Je te rencontre de nouveau à chaque date anniversaire
Par une nuit chaude et lumineuse,
J’ai franchi toutes tes frontières,
Pour mieux conquérir ton cœur à la hussarde,
Loin de tout Minitel
Carsten Höller, Photo de Groupe, 1996, Photographie noir et blanc,
188 × 129 × 2,2 cm, Courtesy Carsten Höller, Air de Paris, Paris, © ADAGP, Paris 2014.
Toi au milieu de tous ces hommes ?
Cela me rendait jaloux !
Alors, je t’ai prise d’assaut,
Sans crier gare !
Mon meilleur traitement ?
C’est toi !
Que notre chambre est belle,
Quand je pars à la conquête de tes reins,
Les vitraux de nos fenêtres teintent nos draps,
D’une chaleur qui nous envahit
Paul McCarthy, Garden Girl, 1984/1999,
Cibachrome, 165 x 127 x 5 cm, Courtesy l'artiste et Hauser & Wirth.
Et dans l’ombre du plafond,
Le halo de nos désirs se confond,
Nous confond à l’unisson,
Nous sommes dans un clair-obscur transparent,
Comme la dentelle qui habille ta nudité
Je me penche sur toi,
Comme on dévore un livre,
Et dans des gestes extatiques,
Nous faisons culminer nos sens
"What Cropped Up", Raymond Pettibon, 1991, Crayon et encre sur papier, collection particulière.
Dans l’air du soir teintent les cloches,
Nous sommes pétrifiés,
Et agités à la fois d’exaltation,
Le courant passe en continu entre nous
Deux larmes courent sur ta joue,
Je les lèche,
Nos visages s’irradient mutuellement,
Je ne sais pas où l'on va,
Mais on y va,
Je rentre dans ta vie comme dans la nuit,
Tu rentres dans la mienne comme en plein jour,
Tu vois, on ne sait que s’aimer
Karen Kilimnik « My Nose Job To Look Like Brunette/ Model From 60s Who Was Sick 1990. » Epreuve chromogène, Edition 4/5, Courtesy Chromogène, Edition 4/5, Courtesy l’artiste ; 303 Gallery New-York ; Gallery Eva Presenhauber, Zurich.
Nous sommes muets,
Pour mieux parler avec nos mains,
L’esprit conjugue nos âmes reliées,
Reprenant haleine, nous invoquons l’Amour,
Et sans hésitations nous parcourons nos corps
BLESS, N°12 Bedsheets Couple , 2000, housse de couette et 2 taies d’oreiller 100% coton satin et impression numérique,
housse de couette : 200 x 200 cm, taie : 80 x 80 cm (chaque), Courtesy B le SS.
La tendresse nous habite, nous possède,
Nous sommes les survivants d’un monde en guerre,
Nous restons nus l’un contre l’autre,
Ta peau me fait chavirer,
Entre fièvre et quiétude,
Nous montons aux Cieux langoureux,
Comme on chevauche des contrées indécentes,
Comme on conquiert l’impossible,
Juste pour se plaire !
© Jean DORVAL, le 01.08.2014, pour LTC Poésie.
INFO+ : centrepompidou-metz/1984-1999-la-décennie
© Crédit photos : photographe : Jean DORVAL pour LTC Arts 2014 ; droits pour les photos d’œuvres d’art : les Centres Pompidou-Metz et Paris - ADAGP Paris 2014 ; reproduction partielle de quelques parties du bâtiment du Centre Pompidou-Metz faite avec l’aimable autorisation de Shigeru Ban Architects et Jean de Gastines Architectes.
16:44 Publié dans A LIRE - LTC POESIE PRESENTE | Lien permanent | Tags : "garden girl.", exposition, centre pompidou-metz, 1984-1999, la décennie, metz, moselle, lorraine, tes formes simples, jean vodaine n’est pas vraiment mort !", et maintenant, aux fesses !", première exposition mondiale, des éditions érotiques illustrées, de verlaine, du 25 avril au 15 juin 2014, réservé aux adultes, le jour où je t’ai rencontrée.", la tour eiffel, "tu es pure réalité.", "la fleur du mâle.", je suis celui qui murmure à tes oreilles.", jean dorval, poète lorrain, jean dorval pour ltc, poésie, inauguration, coupe du monde de football, législatives, 2012, présidentielles, metz vaut bien une messe, jean dorval pour ltc poésie | Facebook |
27/07/2014
"TES FORMES SIMPLES."
Constantin Brancusi "La Muse Endormie II" (1917, plâtre).
"A. ma Muse"
Ma Déci-Belle,
Peu m’importe que tu sois sage,
Car tu es re-belle jusqu’aux limites du réel,
De part tes formes accueillantes,
Qui suscitent mon total intérêt pour toi
Charwei Tsai "Circle II" (2011), vidéo couleur, silencieux, 56 secondes.
Tes rondeurs alanguies exercent sur moi,
Un pouvoir d’attraction,
Créent un projet poétique,
Explorant le point de vue de tes sensations
La beauté de ton visage,
Et de ton âme présage,
Me font t’aimer de plus en plus fort,
Aux limites de l’excès
Wolfgang Tillman, "Freisch Wimmer 212"(2012), épreuve jet d'encre.
En ta présence,
J’aspire à la volupté divine,
A respirer tes parfums enivrants,
A embrasser vigoureusement tes embruns amoureux
Tu es mon Hymne de Paix,
Mon honneur dévoilé,
L’Amour d’où découlent tous mes plaisirs partagés,
Tu es le vase d'argile où je donne la Vie,
D'un coup de baguette agile
Toupie, Ile de Bornéo, Peuple Dayak, non daté, bois sculpté.
Comme un vert-galant,
Je coule le long de ta poitrine
Près de ton cœur, devenu ver luisant,
Je m’illumine en suivant les courbes de ta féminité,
Et je m’évanouis en ligne droite dans le triangle de Ta Vie
Olafur Eliasson "Round Rainbow" (2005).
Dans le noir, au pied du Centre Pompidou-Metz,
Tu me guides, toi mon étreinte préférée,
Mon Phare dans la nuit,
Mon âme-cerise que je cueille avec la bouche
Près de toi point de regrets,
Tu réchauffes mon cœur,
Et exauces mon âme jamais repue de ta sève
Olafur Eliasson "Round Rainbow" (2005).
Je te consacre mon Chant d’Amour,
Ma Love-Parade,
Allongé sur tes dunes primordiales,
Et nos deux cercles ne forment plus qu'un
Alors le flot clair et langoureux,
De ma pensée épouse ta peau,
Nos draps sont pleins d’odeurs légères,
Celles des fleurs du mâle écloses en ton sein
© Jean DORVAL, le 22 juillet 2014, pour LTC Poésie.
NEWS+ : http://www.centrepompidou-metz.fr/formes-simples
© Crédit photos : photographe : Jean DORVAL pour LTC Arts 2014 ; droits pour les photos d’œuvres d’art : les Centres Pompidou-Metz et Paris - ADAGP Paris 2014 ; reproduction partielle de quelques parties du bâtiment du Centre Pompidou-Metz faite avec l’aimable autorisation de Shigeru Ban Architects et Jean de Gastines Architectes.
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24/05/2014
LES BEST OF JD : "JEAN VODAINE N’EST PAS VRAIMENT MORT !"
A 85 ans, le poète Jean Vodaine s’en est allé. De son vrai nom, Vladimir Kaucic, d’origine slovène, restera l’Amoureux de la plume et de l’encre. Il démarre sa carrière littéraire par l’invention des récits improbables, publiés dans la revue « La Tour aux Puces ». Aveugle, Jean faisait « travailler sa mémoire ». Sa renommée européenne, puis mosellane, trouve sa quintessence dans ses poèmes-affiches, véritable poésie visuelle ; dans des textes, comme « Le courrier de Poésie » fait en collaboration avec Edmond Dune ; ou dans une rétrospective d’œuvres graphiques, intitulée « Drôles d’Oiseaux ». Afin d’honorer le poète disparu - domicilié pour l’éternité à Baslieux (54) – il serait avisé de créer prochainement un lieu immortalisant sa mémoire. Il avait fait vœu, de son vivant, de créer une Maison de la Poésie à Metz…
© Jean Dorval, le 09/08/06, pour LTC Poésie.
INFO+ : Wiki/Jean_Vodaine & asso.jean.vodaine
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14/05/2014
"LE JOUR Où JE T’AI RENCONTRéE."
"A." Ma Muse.
Le soleil embrasse l’immensité de tes yeux,
Et mon cœur épris erre pour l’Éternité,
Au pied de la Tour Eiffel,
Entre les deux arbres,
Où je t’ai rencontrée
Depuis que j’ai prononcé ton prénom rien n’est plus pareil,
Je ne sais où va mon chemin,
Par contre, je suis sûr d’une seule chose,
Je marche mieux quand ta main serre la mienne,
Quand elle me guide vers ta couche
A la nuit naissante,
Le voile du sommeil, celui de nos rêves partagés,
Me recouvre de ton parfum lancinant,
Et au noir minuit de l’effet,
Ton bassin me berce d’insouciance
Tu es mon flot bleu marine,
Dans lequel, je me noie volontiers jusqu'au lendemain
Laisse éclore l’Aurore à chacun de nos réveils,
Comme une illusion qui s’étire de tes paupières
Tu es la source de la rosée de l'émoi,
Le désir coule en toi,
Comme ton âme légère et généreuse
Tu es l’alarme de mes larmes de Joie,
Je renais chaque matin au petit jour,
En ton sein,
Comme une fièvre constamment entretenue
Belle abandonnée dans mes bras,
Je suis ta cadence démesurée,
L’eau de ta bouche me murmure
Quelques notes gourmandes à l'oreille
Notre colloque sentimental est une inoubliable extase,
Je respire ta chevelure,
Je ressens l’éclair de ton sourire
La rose rouge que je t’offre,
Est l’Aveu de ma tendresse extrême pour toi
Ta chair est bénie de ma sueur de fougueux laboureur,
Nous sommes les oiseaux du Bonheur simple,
Ceux que le Monde attend pour semer la Paix
Grâce à toi mon Ange d’Affection,
Je chevauche l’orage,
Je conquière la Voie Lactée,
J'invente de nouveaux Instants "T" à partager à Deux
Tes yeux sont verts,
Tes yeux sont bleus,
Tes yeux sont gris,
Je n'ai jamais rencontré un regard comme le tien
Tu es une caresse,
Un trouble chaleureux permanent,
Un rêve sans trêve
Face à toi,
Mon coeur s'oublie,
Je suis trahi par mes mots,
Ceux que je te dédicace
Je flotte dans l’air en te voyant,
Je ne peux toucher terre,
Je suis un homme nouveau à l’envers du décor,
Et tu es le cercle placé autour de moi
Nous n’avons décidément qu’un seul endroit où aller,
Où retourner en pèlerinage,
Là-bas, au coeur de notre Univers,
Au pied de la Tour Eiffel
© Jean DORVAL, le 10 mai 2014, pour LTC Poésie.
© Crédit photos : Jean DORVAL 2014 pour LTC Poésie.
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